• A plusieurs plumes .

    A plusieurs plumes .

    J'ai commencé ce texte en 2009 avec une amie, nous nous envoyions les messages sur FB puis manque d'idées alors maintenant je compte sur vous ...

     

         Chaque fois qu'il venait dans cet endroit, il avait un petit pincement au coeur en pensant au passé, et quel passé ...?! Des images, des visages, quelques phrases ; il n'oublierait jamais .

          Pour penser à autre chose, il alla au marché, et demanda au placier, qui faisait le tour des bancs avec son carnet, où était la marchande de marrons . Devant son air ahuri, il comprit que le temps était loin où, petit garçon, il se cachait derrière le mur de l'école pour être le premier à manger les fameux marrons tout chauds .

          Un grand soupir ; tourné vers la colline les yeux remplis de larmes il lui sembla soudain apercevoir ... Cette silhouette délicate qui se détachait sur l'horizon ; était-il victime d'un mirage ? Il ne savait que penser après ce qui était arrivé vingt ans plus tôt ; comment était ce possible ?       Un rêve, une pensée, une éternité et soudain Maria était là .

        Maria, petite fille au regard toujours triste et sa besace sur le dos . Dedans il y avait un porte-plume, de l'encre et des bouts de papiers récupérés ça et là . Son bien le plus sacré . La besace et son contenu avaient appartenus à sa mère . Elle se cachait dans les collines pour écrire, loin de son père, entourée de ses chèvres qui ne s'éloignaient guère de la petite fille, la protégeant de cet homme avec sa canne en frêne dont elles se méfiaient pour en avoir parfois senti les coups !

        Le père de Maria lui reprochait la mort de sa femme en couches . Il la terrorisait et lui interdisait d'aller au village . Dès lors ses seuls amis étaient les animaux qui pressentaient la bonté de la fillette et se laissaient tous approcher par la petite fée qui savait leur parler et les soigner . Ils le lui rendaient bien, empêchant quiconque de l'approcher s'ingéniant par leurs cris à l'avertir .

          Je devais avoir l'air bien penaud  ce jour où ils consentirent à me laisser la rencontrer ! Je fus conquis sur le champ ; m'étant égaré dans les collines, j'étais tombé . Les genoux râpés, la peur au ventre, je n'arrivais plus à retrouver le village et je pleurais en cherchant mon chemin . J'avais dix ans, je venais d'arriver, mes parents partis à l'étranger pour les affaires de mon père m'avaient confié à une tante que je ne connaissais guère,

         

     Maintenant je compte sur vous pour continuer l'histoire

    laissez moi vos idées en commentaire ... A plusse

     

     

     

     

     


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